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La tradition islamique est, en tant que « sceau de la Prophétie », la forme ultime de l’orthodoxie traditionnelle pour le cycle humain actuel. Les formes traditionnelles qui ont précédé la forme islamique (Hindouisme, Taoïsme, Judaïsme, Christianisme,…) sont, dans leurs formulations régulières et orthodoxes, des reflets de la Lumière totale de l’Esprit-universel qui désigne Er-Rûh el-mohammediyah, le principe de la prophétie, salawâtu-Llâh wa salâmu-Hu ‘alayh.

Michel Vâlsan - Mise au point sur le numéro spécial de « Planète-Plus » consacré à René Guenon.

Michel Vâlsan - Mise au point sur le numéro spécial de « Planète-Plus » consacré à René Guenon.

Mise au point par Michel Vâlsan
Etudes Tradiditionnelles

n° 423, Janv.-Fév. 1971.

Au sujet du n° spécial de Planète-Plus sur René Guénon, volume critiquable à bien des égards et critiqué du reste ici même par M. Denys Roman auquel fut confié ce soin (1), nous avons été étonné d’apprendre dernièrement que la publication italienne Rivista di Studi Tradizionali (n° Luglio à Dicembre 1970), dans un article donné simultanément en italien et en français, nous attribue à nous-même une spéciale responsabilité personnelle. On écrit de nous ceci : « ...le rédacteur actuel des Etudes Traditionnelles... attiré sans doute par l’occasion publicitaire (2) dont il aura cru bénéficier lui-même, non seulement ne s’est pas opposé, mais, comme nous le savons, a même favorisé la publication du n° spécial de Planète-Plus « consacré » à Guénon ».

A une telle imputation nous répondons ceci :

1. N’ayant aucune qualité qui nous permette d’intervenir dans les diverses éditions « Planète », dont nous ne connaissons même pas personnellement les dirigeants ou responsables, il nous était absolument impossible de nous « opposer » à quoi que ce soit de ce que font ceux-ci de leur côté, y compris leur n° spécial sur Guénon dont nous n’avons connu d’ailleurs le contenu — textes nouveaux ou extraits de livres et reproductions d’articles antérieurs — que lorsque ledit numéro se trouva mis en vente.

2. Avant cela, une personne dont nous ignorions tout jusqu’alors, M. Jean-Claude Frère, s’était adressée à nous (« aux bons soins des Editions Traditionnelles ») par une lettre datée du 12 janvier 1970, dans les termes suivants :

« Monsieur, préparant actuellement un numéro de revue sur René Guénon, son œuvre et son influence je serais honoré si vous vouliez bien me faire part de quelques lumières supplémentaires. Je pense notamment que vos conseils seraient hautement qualifiés pour me guider à travers les si nombreux articles de Guénon tant dans le Voile d’Isis, dans les Etudes Traditionnelles que dans Regnabit.

Ce numéro de revue, qui devra s’inscrire dans une collection qui aura pour nom « les Maîtres spirituels » aux Editions Planète n’a pour autant rien de commun avec la revue « le Nouveau Planète ».

Universitaire, préparant un doctorat en égyptologie (sur le monothéisme solaire d’Aménophis IV), je tiens à donner à ces travaux toute la rigueur et le sérieux nécessaires. Je n’aborde l’œuvre de René Guénon qu’empreint du plus profond respect et décidé de faire un travail honnête et en profondeur.

Afin que la situation soit clairement définie il me semblait bien opportun de préciser ces quelques points et de mettre l’accent sur le souci d’authenticité.

Dans l’espoir de vous voir très prochainement, j’ai en effet des délais de travail assez court, recevez, Monsieur, etc. ».

On aura remarqué qu’il s’agissait alors de quelque chose qui ne devait avoir « rien de commun avec la revue le Nouveau Planète ». Nous avons répondu favorablement à cette démarche et ceci sera d’autant plus facile à comprendre qu’un refus d’aide pur et simple de notre part, n’aurait pu favoriser dans la circonstance que le rôle d’influences divergentes par rapport à une orientation traditionnelle. Nous avons reçu ainsi plusieurs fois la visite de M. Frère. Pendant l’époque — assez courte — de ces rencontres nous apprîmes de M. Frère lui-même que ses pouvoirs sur le numéro en préparation devenaient de plus en plus réduits et caducs, et même que, finalement, tout le contrôle lui en échappait au bénéfice de l’équipe du « Nouveau Planète » (3), au point qu’il ne pouvait plus faire des corrections, jugées par lui-même indispensables, à ses propres articles, ceux-ci étant en outre quelques fois altérés par des interventions du service rédactionnel (4). Si M. Frère lui-même n’y pouvait plus rien, on conviendra qu’il nous était vraiment difficile à nous autres de nous « opposer » à ce qui se passait dans les antres des entreprises inscrites sous l’un des qualificatifs de « Planète ».

Bien entendu ce n’est pas à nous d’affirmer que la nécessité même des « corrections » dont il est parlé (mais dont nous ignorions la teneur de même que les textes auxquels elles pouvaient se rapporter) ait été un résultat de ces rencontres de M. Frère avec nous ; ce qui est certain c’est que cette nécessité apparut comme la suite d’une meilleure connaissance de l’œuvre de René Guénon ; en outre nous pensons qu’au moins on ne pourra pas prétendre, sans preuve, que les entretiens que M. Frère eut avec nous aient pu gêner en quoi que ce soit cette connaissance. Et en tout état de cause, si nous pouvions « favoriser » quelque chose dans ces circonstances ce ne pouvait être les plans et les méthodes de cette Plus ou Moins Nouvelle Planète, mais un travail présenté justement comme soustrait à l’influence et au contrôle de l’équipe respective, et qui nous apparaissait estimable et digne de quelque aide dans la mesure de nos moyens. A noter que nous ne devions y jouer aucun rôle, puisque nous n’y apportions aucune contribution personnelle ou autre, et que nous ignorions les textes des collaborateurs, y compris ceux de M. J.-C. Frère lui-même ; aussi il ne pouvait y avoir de notre côté aucune exigence ou attente d’une contrepartie publicitaire dont nous ignorions d’ailleurs la possibilité. On admettra que personne ne sache mieux que nous ce qu’il en fut à cet égard, et nous défions qui que ce soit de faire la preuve du contraire de ce que nous disons ici (5).

(1) Voir E.T. n°s 421-422, sept, à déc. 1970, pp. 271-282.
(2) A l’endroit, la version italienne se veut bien plus blessante puisqu’elle dit « gonfiatura publicitaria ».
(3) C’est ainsi que la « Collection des Maîtres Spirituels », dès son premier volume, consacré à Ramakrishna, sorti en février 1970, apparaît inscrite sous la bannière du « Nouveau Planète », et que ses éditions se succédèrent en alternance régulière avec les numéros ordinaires de ladite revue.
(4) Ces choses sont déjà connues publiquement depuis la Note que nous avait adressée M. J.-C. Frère et que nous avons insérée dans notre numéro de sept, à déc. 1970, pp. 276-277.
(5) Quand le numéro spécial de Planète-Plus sur Guénon est sorti, malgré les contrariétés ressenties au point de vue « guénonien », sur les plans historique, doctrinal et même littéraire, on pouvait toutefois constater, après coup, entre autres, à part la publicité faite à l’œuvre de Guénon, un certain avantage pour les « Editions Traditionnelles » elles-mêmes, puisqu’une chronique du numéro en cause en parlait, et nous l’avons dit alors à M. Villain, notre directeur, qui devait trouver dans ladite chronique, avant tout et le plus régulièrement du monde, un acte de gratitude pour l’offre courtoise qu’il avait faite en l’occurrence, de quelques livres édités par sa Maison et de quelques années de la collection de notre propre revue. Serais-ce là ce que « sait » la Rivista ? Mais il n’y a là rien qui implique une intention publicitaire tout au moins de notre part personnellement et pour notre bénéfice, ou qui soit contraire au point de vue éditorial le plus normal de notre directeur. M. Villain conteste, en tout cas, qu’il ait pu dire par ailleurs quelque chose qui infirme ce qui vient d’être précisé dans cette note. Nos lecteurs voudront bien nous excuser d’avoir à donner des explications de cet ordre.

Mais il y a plus étrange encore. Avant le passage que nous avons cité au début, on entreprend contre nous une critique spéciale qui normalement aurait dû porter contre les Etudes Traditionnelles elles-mêmes, mais qui, concernant en somme des choses extrinsèques aux textes publiés (6) et même des faits de calendrier éditorial ou de voisinage publicitaire (7), constitue plutôt la préparation improvisée et incohérente d’une attaque de caractère personnel qui suit immédiatement. Il s’agit de l’accusation — formulée en termes généraux et un peu confus au début, mais fixée ensuite sur notre cas particulier pris en exemple — d’une « complicité » avec Planète-Plus en faveur notamment de « prétendus disciples » de Guénon mentionnés par celle-ci et déjà attaqués de ce fait par la Rivista. Voici la phrase en cause (en traduction complétée par nous d’après le texte italien tout en en respectant les particularités grammaticales) : « En réalité, bien qu’elle puisse duper bien des gens, la propagande manifeste de Planète- Plus en faveur des susdits prétendus « disciples » et « continuateurs » de René Guénon, et la complicité de ces derniers est (sic !) bien le signe le plus tristement éloquent qu’ils (sic !) (8) ont été désormais neutralisés et pris dans le jeu de l’« adversaire » (p. 189 pour le texte italien, 208- 209 pour la version française) (9). L’application de cela à notre cas vient immédiatement ainsi : « Ce qui est notamment évident en ce qui concerne le rédacteur actuel des Etudes Traditionnelles...», commencement de phrase qui introduit le passage cité par nous au début de cette mise au point, de sorte que l’imputation de recherche publicitaire sans scrupules, que nous avons déjà examinée, fait en réalité suite à une accusation de « complicité » dont elle fournirait la « preuve » ou l’illustration. Mais tout cela ne reposant que sur des suppositions peu scrupuleuses et vraisemblablement intéressées, reste de la diffamation pure et simple.

Tels étant les faits, ce qui s’impose maintenant de la part des gens de cette Rivista di Studi Tradizionali, c’est de prendre acte formellement de notre mise au point et de retirer la double imputation qui nous est faite d’une responsabilité dans la publication du n° spécial de Planète-Plus sur René Guénon, et d’une recherche à cette occasion de quelque publicité personnelle avec ou sans scrupules, aussi bien que l’accusation d’une complicité avec qui que ce soit et par quelque acte que ce soit, pour autant qu’un tel acte serait contraire aux usages honorables de l’activité littéraire en général ou à nos devoirs intellectuels aux Etudes Traditionnelles en particulier.

Après tout cela, il nous reste à faire encore une observation. Puisqu’on connaît ce que nous écrivons nous-même depuis longtemps dans le domaine des idées traditionnelles, est-il admissible que, dans une revue dont le nom n’est que la traduction de celui des Etudes Traditionnelles, l’on estime, sur la base de quelque racontar, que nous pouvions vraiment négocier les égards les plus élémentaires dus à l’œuvre et à la mémoire de René Guénon pour avoir le bénéfice d’une publicité personnelle ? Et si telle se révèle la mentalité des gens de la Rivista quand il s’agit de juger le comportement des autres, n’est-il pas légitime de se demander quelle confiance pourrait-on avoir dans leurs scrupules de conscience lorsqu’il s’agit de leurs propres agissements ?

En tout cas, une estimation comme celle dont on nous gratifie en l’occurrence constituerait une offense grave quand elle s’appliquerait à n’importe quel homme resté simplement fidèle, sans plus, à l’enseignement de Guénon. Comment doit-elle être ressentie par quelqu’un qui en fut un fidèle actif et plus, en raison, entre autres, du mandat de confiance sur les éditions de cet enseignement, mandat qu’il avait reçu de l’auteur sans l’avoir sollicité ? Nous parlerons à d’autres endroits de ce qu’on fait subir actuellement à l’œuvre de Guénon et de ce à quoi elle peut servir depuis que les efforts conjugués et réitérés de fats ambitieux et de traîtres malins nous amenèrent à nous désister de ce mandat, et nous répondons seulement à ceux de la Rivista, lorsqu’ils nous considèrent parmi les « neutralisés et pris dans le jeu de l’adversaire », qu’en fait d’« adversaires » qui puissent nous affecter de quelque façon, nous n’en avons pas connu de plus caractérisés et de moins honorables que ceux dont la Rivista di Studi Tradizionali se trouve être actuellement l’organe direct ou indirect d’expression cisalpine (10). Et à l’occasion, nous plaignons les lecteurs italiens d’avoir à connaître l’œuvre de Guénon à travers un tel office intellectuel, dont les servants paraissent en outre bien faibles à divers égards, office qui ne pourra pas manquer de fausser la portée normale de cette œuvre dans le milieu italien (11).

M. Vâlsan

(6) Sous le rapport intrinsèque des textes, nous rappelons ici que, selon l’Avis publié par nous en tête du numéro 364 (mars-avril 1961) des E.T., « la Rédaction a recours à toutes les collaborations qui satisfont à la condition générale de la traditionnalité et à celle spéciale de l’intérêt intellectuel », et aussi qu’« elle ne saurait être considérée comme engagée par toutes les conséquences que les différents auteurs auxquels elle offre les pages de la revue, tirent des principes ou des sources traditionnelles ». — En outre — et nous rappelons les faits nous-même — lorsque, à quelque moment de la série des Etudes Traditionnelles depuis 1961, nous avons eu, malgré tout, à publier dans les pages de notre revue quelque texte de nos collaborateurs qui mettait en cause une des notions traditionnelles connues ou l’enseignement de Guénon sur une telle notion, nous signalions la difficulté dès le début, par une note de la Rédaction tout en annonçant chaque fois une « mise au point » qui suivait effectivement et présentait — selon nous et nos moyens, tout au moins — le point de vue de l’orthodoxie, en rétablissant aussi, le cas échéant, la véritable teneur de l’enseignement guénonien sur les différents thèmes examinés.
(7) Quant aux annonces d’éditions diverses, imprimées sur la couverture des Editions Traditionnelles, choses dont nous-mêmes prenons connaissance comme tout lecteur lorsque les numéros de notre revue sortent de l’imprimerie qu’on veuille bien savoir que nous, qui ne nous occupons que des textes du sommaire, sommes ici un simple hôte, traité, certes, avec des égards, mais qui ne peut avoir des prétentions hors son domaine propre, et ceci d’autant plus qu’il faut tenir compte aussi des intérêts de la Maison éditrice pour laquelle notre revue ne constitue pas vraiment une « affaire » au point de vue commercial.
(8) Qui sont ces « ils » (en italien, essi) ? Tous les « prétendus disciples et continuateurs de Guénon », ou seulement, comme il est probable, ces derniers qu’on devrait alors désigner « ceux-ci » ? Quel dommage qu’un ton aussi hautain de justicier, soit si peu servi par son style (dans les deux langues) !
(9) La version française donnée par la Rivista inversant l’ordre des termes parle de « prétendus continuateurs et disciples de René Guénon », de sorte que, dans la suite, « la complicité de ces derniers » s’applique aux « disciples » et non pas aux « continuateurs ».
(10) Par une coïncidence qui n’a certainement rien de fortuit, les contributeurs au numéro en question de la Rivista à titre d’auteur, de traducteur, de fournisseur anonyme de documents ou à quelque autre titre, constituent le tableau sommaire des éléments hostiles dont nous parlons, qui entre eux-mêmes sont d’ailleurs en net désaccord quant à l’autorité de l’œuvre de Guénon, mais qui s’entendent parfaitement quand il s’agit d’attaquer ceux qui les gênent dans leurs hérésies ou entreprises particulières. Le fait que ces éléments convergent encore et plus spécialement dans des attaques portant sur d’autres objectifs que notre personne, ne change rien à cette constatation.
(11) Ajoutons encore un mot. Nous savons bien que l’on a donné du désistement dont nous parlons des raisons qui convenaient à ceux que notre présence dans les éditions de Guénon gênait et qui aspiraient à faire leur profit de notre départ, mais, au besoin, rien ne nous retiendra désormais de publier ici ou ailleurs ce qu’il faut pour qu’on sache que les véritables raisons de notre désistement sont liées à la défense même de l’œuvre doctrinale de Guénon. Précisons aussi que, lorsque nous parlons de cette défense, nous entendons par l’œuvre de Guénon non pas la substance d’un littéralisme idolâtre (en italien on dirait, n’est-ce pas, pappagallesco), mais sa nature de message fécondateur de la conscience traditionnelle.

P.S. Avant de donner le « bon à tirer » pour ce numéro, nous apprenons de pèlerins européens rentrés par le Caire, que la famille de Cheikh Abdel-Wâhid Yahya (René Guénon) qu’ils ont visitée, et que nous n’avons pas eu jusqu’ici l’occasion de rencontrer, nous considérait personnellement, d’après les renseignements fournis par ceux qui sont après nous ses mandataires en matière d’éditions, comme « le plus grand ennemi de René Guénon » ! Telles étant les choses, comme nous n’avons plus rien à perdre maintenant après tant d’années de réserve et de patience — et compte tenu aussi des faits récents dont nous venons de nous occuper — nous tenons à rendre publiques ces informations, afin qu’on sache de tous les côtés quelle sorte de gens représente actuellement les intérêts de la famille de Guénon et, par cela, « l’œuvre de Guénon ». — Ce faisant, nous ne nous écartons d’ailleurs point de l’objet initial de cette chronique, car on sait que la Rivista di Studi Tradizionali agit sous l’influence directe d’un représentant des héritiers de Guénon. — Nous devons toutefois enregistrer, en l’occurrence, une consolation pour nous. Quand les visiteurs susmentionnés — qui n’étaient cependant porteurs d’aucun message de notre part — eurent rétabli les choses en faisant savoir, au contraire, en quelle considération nous tenions dans notre milieu l’œuvre de Guénon et de quelle vénération jouissait parmi nous l’auteur, la veuve du Cheikh, émue, les chargea de ses salutations pour nous personnellement et les nôtres, ainsi que pour tous nos amis. Nous en sommes, certes, très touché, et tout en rendant comme il le faut, par ailleurs, la politesse, nous formons aussi le vœu instant que l’œuvre de René Guénon, œuvre incomparable de sainteté intellectuelle, échappe enfin à l’emprise de cette peu recommandable équipe soi-disant « traditionnelle » qui, abusant d’un mandat confié pour la défense des intérêts légitimes des héritiers, s’en sert largement pour la satisfaction de prétentions ridiculement démesurées et l’assouvissement d’inimitiés strictement individuelles. De notre côté, dorénavant nous nous occuperons de montrer certains résultats techniques obtenus sur le plan éditorial par la compétence et la diligence de ces étranges mandataires.

N.B. M. Luc Benoist nous prie de déclarer qu’il ignorait l’existence de la revue Planète-Plus avant la parution du numéro spécial sur René Guénon et que les extraits de ses ouvrages ont été faits sans qu’il en soit avisé. Le second extrait est d’ailleurs fait sans référence exacte et avec une faute d’orthographe à son nom. La supposition de la revue italienne d’une collusion entre les Études Traditionnelles et la revue Planète est aussi fausse que ridicule.

[Michel Vâlsan, Mise au point (sur le numéro spécial de « Planète-Plus » consacré à Guenon) - 1971, p. 24 (Janv.-Fév. ; n° 423)].

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